Nous venons d’atterrir à Marrakech. Nous sommes début avril et, heureusement, le mercure ne s’affole pas encore dans les thermomètres. Le soleil est doux comme le miel et la neige recouvre au loin les sommets du Haut Atlas.
Tiens, les panneaux sont écrits en français ! Les gens parlent même français ! Après une année de voyage dans des pays non francophones, nous avons le sentiment d’arriver en terrain connu. Nous partons immédiatement vers le sud pour rejoindre Taroudant, petite ville ensoleillée de quatre-vingt mille âmes.
« Taroudant, mal aux dents »
Depuis Marrakech, le trajet n’est pas aussi simple que prévu. Nous trouvons facilement un premier bus vers Agadir, mais nous arrivons trop tard pour l’unique bus quotidien vers Taroudant. Nous négocions un taxi. Hassan, c’est son prénom, est un vrai moulin à paroles. Il est fier de sa Mercedes de 1987 : « Le meilleur modèle, on trouve des pièces de rechange chez tous les garagistes du Maroc ! ».
Le Souss est le nom de cette paisible région au sud du Maroc. Sur la route, Hassan nous présente des plantations d’orangers, de citronniers, d’oliviers et même de bananiers. « Vous sentez là ? C’est une fabrique d’huile d’olive, ils font tourner le moulin avec des ânes ». Et effectivement, des effluves d’olive et d’âne se mêlent et pénètrent l’habitacle de la vieille berline allemande.
Parfois, nous traversons des zones plus arides. Tous les trois cents mètres environ, un berger garde ses moutons qui broutent trois malheureux brins d’herbe. « Ces arbustes-là, ce sont des arganiers, pour faire de l’huile d’argan. C’est excellent pour la peau, les cheveux, les ongles, l’estomac, le cœur, tout ! ». En nous laissant devant la porte de la médina de Taroudant, Hassan sort quelques oranges de son coffre, qu’il tient à nous offrir.
La médina de Taroudant, festival permanent de scènes de rue
En guise de logement, nous dénichons un beau riad au centre de la médina de Taroudant, la vieille ville fortifiée. Éric, son propriétaire est connu comme le gaouri (étranger) aux cheveux longs. Il nous explique qu’il avait l’habitude de remettre à neuf de vieux riads pour les vendre à des Européens, surtout des Français.
Et puis, du jour au lendemain, les acheteurs se sont évaporés. En cause, cet absurde et tenace amalgame « musulmans = terroristes ». Pfff… le terrorisme est impossible ici, nous confirme Éric, les gardiens de quartiers savent tout sur tout le monde. Par exemple, vous venez tout juste d’arriver, eh bien ils sont déjà au courant !
Il n’y a pas beaucoup de « choses à voir ou à faire » à Taroudant. C’est plutôt le tohu-bohu de la ville qui la rend attachante et nous en profitons entièrement en vivant en plein centre-ville. Mais attention, ce n’est pas une animation spécialement conçue pour les touristes, comme à Marrakech par exemple. Non, ici les vacanciers se comptent sur les doigts de la main. Taroudant vit pour ses habitants.
Des vendeurs de fruits passent en poussant leurs chariots, des ânes tirent des carrioles, quelques mobylettes portent des vieillards et les vélos filent dans tous les sens. L’après-midi, le soleil réchauffe les ruelles, mais visiblement pas assez pour certains locaux qui conservent leur djellaba d’hiver en laine épaisse et leur capuche en pointe.
Fréquemment, des Marocains nous interpellent, comme ça, juste pour le plaisir de bavarder. Tous mettent un point d’honneur à nous souhaiter la bienvenue. Comme ce papi qui nous explique la longue amitié entre nos deux pays et qui s’éloigne en criant : « Que vive le Maroc, que vive la France ! ».
Comme nous logeons dans un riad avec cuisine, nous en profitons pour mitonner la plupart de nos repas. Faire ses courses à Taroudant est tout simplement génial. Les commerçants sont adorables et les prix sont incroyablement bas. Une baguette ? Un dirham, soit neuf centimes d’euro. Sur le coup, nous croyons que la vendeuse nous fait une blague.
En guise d’huile d’olive, l’un des innombrables épiciers de la ville s’excuse de ne pas avoir « d’huile de société » et nous remplit une bouteille de son huile maison. Quel parfum !
« De toute façon, vous vous perdrez ! »
Notre hôte avait raison, il est impossible de visiter la médina de Taroudant sans se perdre au moins un chouïa. Aucune ruelle n’a de nom et les points de repère sont rares. Nous laissons la chance guider nos visites et, une fois parvenus à l’extrémité de la ville, utilisons nos téléphones comme boussoles pour retrouver la maison.
Nos pas nous ramènent souvent à la place Assarag, la plus animée de la ville. La journée, des dizaines d’hommes de tous âges s’installent à l’ombre des arbres pour discuter ou simplement pour passer le temps. En début de soirée, la place s’anime.
Dans un coin, un charmeur de serpent répète une sempiternelle mélodie. Plus loin, deux enfants se préparent à boxer au milieu d’un attroupement. La place est entourée de petits restaurants, qui semblent attacher beaucoup d’importance à proposer exactement le même menu que leurs voisins !
Juste à côté de la place se trouve le souk arabe de Taroudant, qui n’est ni très grand, ni très fourni en souvenirs.
Toujours est-il qu’il est amusant d’y flâner et d’écouter les vendeurs promettre les meilleures babouches de la ville.
Nous nous rendons également à l’autre souk de la ville, appelé souk berbère par opposition au souk arabe. Hélas les marchandises sont pratiquement les mêmes. Il est simplement plus grand et encore moins touristique. Les marchands n’hésitent cependant pas à nous apostropher en se marrant.
Par hasard, nous nous engouffrons dans un joli quartier au nord de la place Assarag. Tous les murs y sont peints de façon identique, en bleu, rose et blanc.
Enfin, nous ne pouvons pas présenter Taroudant sans décrire ses superbes remparts : six kilomètres de murs épais et cent trente tours de garde qui rendaient autrefois la ville imprenable.
Il est possible de grimper sur une portion de la muraille, à proximité de la place du 20 Août. Cette place elle-même s’anime en soirée, lorsque les familles viennent s’y promener et offrir un tour de voiturette électrique à leurs enfants.
L’oasis de Tiout
Notre hôte Éric est vraiment sympathique. Se rendant compte que nous n’avons pas de voiture pour visiter les environs de Taroudant, il propose de nous promener à l’oasis de Tiout avec son vieux Land Rover et son pote Saïd.
La palmeraie s’étend à perte de vue, dominée par une belle kasbah, ancienne forteresse berbère.
La balade est rafraîchissante. Nous croisons de nombreux Marocains venus pique-niquer à l’abri du soleil. Ils font cela dans les règles de l’art, avec barbecues, tajines et même quelques instruments de musique pour l’ambiance !
Nous sommes déçus d’apprendre que les quelques vingt mille palmiers ne produisent que de minuscules dattes peu savoureuses. « Mais alors pourquoi en avoir planté autant ? » demandons-nous. « Planté ? Non, ils ont poussé naturellement et désormais l’espèce est protégée », nous explique Saïd.
La loi est ferme, il est rigoureusement interdit de couper un palmier ! Cela convient finalement bien aux cultivateurs, qui font pousser des céréales en abondance toute l’année grâce à l’ombre qu’ils apportent et à un système de canaux d’irrigation qui quadrillent toute la palmeraie.
Derrière la palmeraie, les grosses roues du 4×4 d’Éric nous permettent de remonter l’oued. Il s’agit du lit d’une rivière fantôme, parfaitement sèche l’essentiel de l’année mais qui peut se transformer en l’espace de quelques heures en un torrent incontrôlable.
Nous nous installons sous un bel arganier pour pique-niquer à notre tour avec quelques produits locaux : olives marinées, avocats, pain marocain à la semoule, oranges… La dolce vita à la marocaine !
Deux femmes descendent l’oued à pied. D’après Saïd, il n’y a aucun village à proximité et elles ont probablement marché plus de dix kilomètres. Il y a un monde entre le style de vie urbain d’une grande partie de la population marocaine et celui beaucoup plus rustique des villages berbères isolés.
À ce propos, les berbères parlent ici une langue appelée le chleuh. Non non, ce n’est pas de l’allemand. Le mot venait de cette région, avant d’être déformé par les soldats français pour désigner n’importe quelle langue étrangère durant la Grande Guerre.
Sur le chemin du retour, nous croisons un ami de Saïd et plusieurs compères qui déjeunent sous un arbre. Nous acceptons bien volontiers l’invitation à prendre le thé. De toute façon, refuser est considéré comme une injure au Maroc !
Nous retirons nos chaussures pour prendre place sur l’épais tapis et nous rapprocher de la table basse en bois. Vous avez bien lu : une table en bois. Voilà du matériel de pique-nique de compétition. Et vas-y que je te sors des gâteaux, des oranges, des pommes, des bananes… Et vas-y que je te ressers du thé !
Notre avis sur Taroudant
Voici une bien belle découverte au Maroc ! La ville de Taroudant a beaucoup de charme entre ses remparts, ses souks, et surtout son rythme de vie tout tranquille. Les paysages qui l’entourent justifient également un passage dans la région. L’affluence minuscule des touristes permet de conserver une ambiance très authentique et de bénéficier d’un accueil enthousiaste de la part des Marocains. Taroudant restera un superbe souvenir.
Conseils pratiques pour visiter Taroudant
Dormir à Taroudant
Nous avons trouvé sur AirBnb ce beau riad rénové (~60€)i, qui conserve bien la fraîcheur et convient jusqu’à cinq personnes.
Si vous préférez un somptueux hôtel dans le style « Mille et Une Nuits », il y en a de vraiment beaux à Taroudant sur Bookingi à des tarifs très abordables.
Restaurants
Pour le petit déjeuner, nous vous recommandons de vous attabler à un café et de commander une bissara, sorte de soupe de fèves épaisse qui se déguste avec du pain. Pour un repas sans prétention, rendez-vous au restaurant Les Arcades, situé sur la place Assarag. Pour 70 dirhams (50 pour les végétariens) vous aurez un tajine, une boisson et des fruits en guise de dessert.
Huile d’argan
La coopérative de femmes Al Oukhowa située à Taroudant offre un bon accueil et fabrique des produits de qualité. Elle se situe au n°445 avenue Moukaouama / rue Oulad Bounnouna, proche du poste de police.
Venir à Taroudant depuis Marrakech en transports en commun
Le trajet se fait en deux étapes. Prenez d’abord un bus de Marrakech à Agadir (110 dirhams par personne avec la compagnie CTM, départs fréquents, 3h30). Ensuite, entre Agadir et Taroudant, cela se complique car il n’y a qu’un seul bus par jour, tôt le matin. N’hésitez pas à prendre un taxi collectif, ils sont confortables et bon marché (37 dirhams par personne). Ils se prennent à la station appelée « Abattoir ». Nous aurions bien aimé avoir cette information, car nous avons dû nous rabattre sur un taxi privé beaucoup plus cher : 250 dirhams la course. Le trajet prend environ 1h15.
Taxi
Comme notre chauffeur de taxi Hassan était très sympa et fiable, nous vous confions son numéro de téléphone : +212 6 61 57 80 55. Il est basé à Agadir et il n’a, selon lui, jamais manqué un rendez-vous de sa vie.
Location de voiture
Si besoin, il y a plusieurs loueurs dans Taroudant, introuvables sur Internet, au tarif de 250 dirhams par jour. Nous avons même aperçu des loueurs de mobylettes.
Ils sont sympas ces Marocains ! Partout où vous passez, vous nous donnez envie d’y aller !vous êtes très positifs! c’est agréable de vous lire !
Merci ! C’est particulièrement facile d’être positifs pour cet article, l’accueil des Marocains nous a mis tellement de bonne humeur là-bas !
Changement de continent ! Et le reste de l’Afrique ?
La photo de la théière sur les marches avec les oranges est splendide, celle du tajine aussi !
Bises et continuez ainsi !
Merci !
Le reste de l’Afrique viendra ! On ne va pas se limiter au coin nord-ouest d’un continent, mais bon là disons que c’était une sorte d’escale sur notre chemin vers les Canaries !
Ca change du Sri Lanka effectivement ! Mais toujours aussi agréable à lire, et on retrouve les belles photos et les illustrations rigolotes ! Bisous à vous deux et à très bientôt !
Ça n’a plus grand chose à voir avec le trop-plein de verdure du Sri Lanka, mais ça donne de tout aussi beaux paysages !
Bises !
Comme c’est beau ! 🙂
C’est pas faux ! Ça fait du bien de se replonger dans ces photos !
Très joli récit sur ce pays qui ne mérite sûrement pas la mauvaise pub qu’il subit. En tout cas j’ai beaucoup aimé cet article, on arriverait presque à sentir l’huile d’olive et l’odeur d’âne depuis là 😝
Merci ! Nous, ce sont les parfums du thé à la menthe et du tajine qui nous reviennent dès que nous pensons au Maroc !
ça me rappelle de bons souvenirs, on n’a pas été à Taroudant, mais on a fait 3 beaux voyages au Maroc, Tiens, ça donnerait bien envie d’y retourner 😉 et là je le sais direct, pas en été !!!!
Vous aviez fait de magnifiques albums photo aussi ! Effectivement, c’est peut-être pas une très bonne idée d’y aller en plein été. Les températures montent facilement au-dessus de 40°C et la ville doit tourner au ralenti…
Merci pour ce très bel article que j’ai lu avec le sourire de la première à la dernière ligne !
C’est très bien rédigé et ça me donne des idées pour mon premier voyage au Maroc dans deux semaines.
Ton commentaire nous donne le sourire lui aussi ! Tu as déjà une idée d’où aller au Maroc ?
Je suis de taroudant, j’aime lire des témoinages sur ma ville, c’est un bon article merci à vous
Merci pour le gentil message, et restez toujours aussi accueillants à Taroudant !
Merci pour ce très bel article concernant ma ville taroudant .n hésitez pas de visiter cette ville
Nous reviendrons un jour, c’est sûr !
joli article.
une autre manière, si on a le temps, d’arriver à Taroudant depuis Marrakech est de descendre par le Tizi n’Test, par Ijoukak puis Ouled Berhel où l’on prend un « grand taxi » pour Taroudant.
vos photos sont superbes.
Béatrice
Merci pour ce tuyau ! Est-ce que cette route passe entre les montagnes enneigées qu’on a vues de loin ?
bien possible oui ….
depuis Ikoukak et aussi de la mosquée de Tinmel tout à coté, on voit des cîmes enneigées
(je dis possible car la route qui part sur Ourika porte aussi au loin sur des sommets enneigés)
Pareil pour nous, on ne se lasse de virées à travers ce merveilleux pays; nouveau trajet ou pas, les saisons, les lumières, les rencontres, l’indéfinissable… l’aventure est toujours nouvelle -)
Totalement d’accord ! Le Maroc est un pays fascinant au charme toujours renouvelé !
Une ville ou il fait bon y vivre en toute simplicité, les gens y sont très accueillants loins des tumultes des autres villes
On est bien d’accord ! Si tu connais d’autres villes du même genre au Maroc, on est preneurs 🙂
Bravo ,merci pour vos superbes photos,habitant Taroudant depuis plusieurs Années je suis convaincues de la beauté des paysages de la gentillesse des Marocains
Avec plaisir ! On garde un excellent souvenir de Taroudant et sa région.
Si vous décidez de prendre la route du Tizi n’test en hiver, renseignez vous auprés de la gendarmerie en partant de Marrakech pour savoir si elle n’est pas fermée á cause de la neige! Trés beaux paisages, les gens sont trés accueillants.
A Tiout , on peut visiter la palmeraie á dos d’âne. Belle balade!!
Ça fait plaisir de voir que vous avez appécié Taroudant qui est ma ville natale!
Merci pour les infos complémentaires 🙂 Ta ville natale a beaucoup de charme !
Splendide photos et beau reportage sur Taroudant qui me donnent envies d’aller voir ces beaux payasages et les découvrir. Merci.
Question: fais t’ils très froid la nuit en janvier â Taroudant?
Rosetta
On te recommande vraiment la ville et ses environs ! De notre côté on était à Taroudant en avril alors il faisait bon mais d’après les prévisions météo actuelles, il fait environ 4° la nuit. Mieux vaut prendre un logement avec chauffage !
Toujours inspirant de vous lire ! J’ai bien aimé la douceur de vivre de Taroudant 🙂 pour la suite, le sud du pays où vous êtes allé me tentait aussi mais j’ai finalement opté pour la région de Ouarzazate tout aussi magnifique, avant de longer la côte Atlantique jusqu’à Tanger 🙂 Fabuleux pays où il y a tant à découvrir !
Superbe région aussi Ouarzazate, on confirme ! On y était en février dernier, on en a pris plein les yeux. Tu as donc quitté l’Asie !
Oui, j’ai clôturé mon « chapitre asiatique » avec la Chine l’hiver dernier(très beau voyage malgré les pires problèmes de communication de toute ma vie). Russophilie oblige, j’ai fait un tour de plusieurs semaines en Biélorussie et me voilà pour la première fois au Maghreb. Le plus dur dans la vie d’un Digital Nomad, je crois, c’est de choisir ses destinations ! Et pour les pays que je n’ai pas encore exploré, il me reste le dépaysement via vos articles 🙂
Exactement, avoir trop de choix ça rend fou ! Mais c’est vraiment un bon problème à avoir dans la vie 🙂
Bonjour, nous serons à Agadir début mai et nous avons réservé près de Taroudant et Trafaoute… Nous serons en plein ramadan… Est ce que ce sera problématique ?
Merci de vos conseils.
Bien cordialement.
Bonjour Nicole,
Nous ne connaissons pas du tout le Maroc pendant Ramadan, mais d’après ce que nous avons pu lire et notre expérience en Tunisie l’année dernière, nous pensons que ça ne sera pas trop problématique.
Comme cette région se trouve un peu à l’écart du circuit touristique classique, il est possible que la majorité des restaurants ferment en journée pour n’ouvrir qu’après le coucher du soleil. La plupart des hôtels continuent de servir les petits-déjs. En journée, passez dans des épiceries pour vous acheter de quoi pique-niquer (pain, avocats, vache-qui-rit, fruits…). Les Marocains savent bien que vous ne jeûnez pas et personne ne vous en tiendra rigueur si l’on vous aperçoit en train de boire ou manger (d’ailleurs les enfants, personnes âgées, femmes enceintes, malades ne jeûnent pas). Évitez juste de le faire trop ostensiblement, pour ne pas leur compliquer la journée !
Bon voyage à vous, on espère que vous aimerez cette région autant que nous 🙂
nous avons beaucoup aimé prendre les chemins de traverses qui réservent de jolies surprises accueil très chaleureux !! le sourire et la politesse toujours présents !!!! nous sommes allés jusqu’au marché de « Taroudan » et premières dunes !!
Merci pour ton retour !
J’ai apprécié vos commentaires sur TAROUDANT que je connais imparfaitement.
Partant d’Algérie ou je suis né en 1947 pour le Maroc en 1947 je parle et écris parfaitement l’arabe même le BERBERE appelé vulgairement le CHLEUH…. Je suis intarissable…
Merci Chaiib ! Est-ce que le berbère est difficile à apprendre ?
Bonjour, je connais Taroudant depuis 1960 après le temblement de terre d’Agadir. Il y avait beaucoup de cigognes peu de voitures. Les Marocains tres accueillants. Un magnifique pays. Je viens souvent au Maroc, malheureusement cette annee avec la pandemie impossible.
Bonjour Francis,
La région a dû tellement changer en 60 ans ! On est d’accord, le Maroc est magnifique, seulement trois voyages pour nous mais on sait qu’on pourrait y retourner de nombreuses fois sans se lasser. Espérons que la pandémie se calme bientôt !
Bonjour
Quel bonheur de se balader sur ce blog. En Colombie vous aviez été d’un grand intérêt et cela nous avait beaucoup aidé et donné plein d’idées, pendant deux mois. Cette année, on reste en périphérie on part deux mois en voiture de bordeaux au Maroc, janvier et février. On vous racontera…
Enjoy la vie
Merci pour le gentil message. On espère vous être à nouveau utiles pour le Maroc ! En tout cas on vous souhaite un excellent voyage (rien que l’intitulé est alléchant) et on attend vos impressions.
Enjoy la vie vous aussi !
Bonjour et félicitations à vous deux!
Merci pour votre reportage et panorama merveilleux si bien organisé.
Personnellement j’ai une profonde attirance pour le Maroc
Jai déjà eu l’occasion de découvrir Marrakech.
Je garde précieusement vos bons conseils car vous semblez être de vrais voyageurs dans l’âme .
Je vous souhaite bonne route et belles découvertes à venir
Bien à vous
Audette.
Bonjour Odette,
Merci pour ton gentil mot. Nous aussi aimons beaucoup le Maroc, sa culture, ses habitants et ses paysages.
Bonne route à toi aussi !
C’est la première fois que je prends autant de plaisir à lire un article de voyage ! Les dessins, les photos, le rythme de vos histoires. Juste un petit mot pour dire que j’adore 💗
Oh merci c’est trop gentil !
Sachant que Taroudant a été très durement frappée par le séisme, j’ai voulu en savoir plus sur cette ville et je suis tombée sur votre récit. Quel plaisir j’y ai pris, j’y retrouve le Maroc que je connais un peu, après une dizaine de voyages dans ce pays. Bravo, c’est très bien écrit et les photos sont magnifiques. J’espère que les gens de cette région vont pouvoir se remettre le plus vite possible. Aidons-les autant que nous pouvons en passant par des associations en relation avec des associations locales. Je vais me précipiter sur vos autres voyages, mais je suis particulièrement sensible au Maroc. Bons voyages et bons reportages
Merci beaucoup pour ce petit mot. Et oui, on espère fort que la région de Taroudant (et le reste du pays) réussira à se remettre sur pieds rapidement. Bons voyages à toi !