Après un doux début de voyage à Trivandrum, nous nous attendons à connaître dès notre deuxième étape le retour à la réalité indienne. Vous savez, l’Inde un peu plus TÛÛÛÛT-MEUUUH-POUET, l’Inde qui bouscule. Eh bien c’est tout le contraire. Nous découvrons un petit paradis comme il en existe peu sur cette planète : les backwaters du Kerala.
Tout d’abord, que sont donc ces arrière-eaux ? Il s’agit d’une vaste région proche de la côte, dont la terre et l’eau se chamaillent l’appartenance. Elle se retrouve ainsi couverte de lagunes, rivières, canaux, flaques d’eau, îles, presqu’îles, ponts, digues et toute autre configuration possible. Ajoutez à cela une nature exubérante, des cocotiers par milliers, des rizières cultivées selon les méthodes ancestrales, des buffles en plein bain de boue, des pêcheurs sur de petites pirogues… Voilà, ce sont les backwaters.
Nous organisons notre découverte de la région des backwaters en deux temps : un premier arrêt à Quilon (aussi connue sous le nom de Kollam) et un deuxième à Alleppey (alias Alappuzha).
Emportés par la foule…
Pour réellement apprécier le calme, rien de tel que d’avoir expérimenté au préalable l’effervescence, c’est-à-dire… les trains indiens ! Nous nous apprêtons à prendre un bus entre Trivandrum et Quilon, mais comme la gare ferroviaire se trouve juste à côté, nous demandons à tout hasard au guichetier s’il est possible de monter dans le prochain train vers Quilon. « Oui, bien sûr ! », nous répond-il. Et nous voilà avec deux tickets en poche.
Tandis que des trains plus vieux les uns que les autres traversent la gare, les porteurs, valises sur la tête, bousculent les voyageurs, les haut-parleurs crachent un charabia au volume maximum et les vendeurs virevoltent de fenêtre en fenêtre.
Le train n’est pas encore entré en gare qu’une folle foule s’impatiente devant la position estimée de notre wagon, celui « sans sièges réservés ». Et lorsqu’il arrive, la guerre est déclarée. Certains tentent de grimper dans le train en marche, repoussés par ceux qui veulent en descendre. D’autres, plus malins, attendent sur les voies du côté opposé pour monter par l’arrière. Ça tire, ça pousse, ça écartèle, ça écrabouille, et sans comprendre comment, nous voilà aspirés dans le wagon.
Une fois dans le wagon, impossible d’avancer d’un pas dans l’allée. Pourtant ça continue de pousser. Nous remarquons une échappatoire sur la droite : un wagon de places réservées. Pfiou, sauvés. Ici l’ambiance est bien plus calme et les passagers rêvassent en regardant le paysage.
Des jeunes à qui nous avons piqué les places montent à l’arrêt suivant. Pas de problème, jurent-ils alors que nous nous levons, et hop, tout le compartiment se serre avec le sourire. Nous les entendons réviser leur anglais pendant dix minutes avant d’oser nous adresser la parole.
Ce sont trois étudiants en transport aérien. Ils rêvent de travailler pour Emirates ou Qatar Airways alors, évidemment, ils font la grimace en apprenant que nous sommes arrivés en Inde avec une compagnie low cost.
Krishna soit loué, nous arrivons à Quilon sans encombre. Il nous reste à atteindre notre maison d’hôtes. Elle ne se situe pas en ville, mais à dix kilomètres dans les terres, ou plutôt dans les backwaters, sur une île appelée Munroe Island.
Nous montons dans un rickshaw, qui monte lui-même sur un bac et nous voilà sur notre île.
Munroe Island : l’île aux mille cocotiers
À Munroe Island, nous passons probablement les trois meilleures journées de tout notre séjour en Inde du Sud. Pourtant, il n’y a quasiment rien à faire. Nous ne savons pas comment l’expliquer à part en vous montrant des photos de la nature exubérante et en vous laissant imaginer l’atmosphère si paisible.
La famille qui nous hébergei est adorable, bienveillante, anticipe nos besoins sans trop en faire. Grâce aux vélos qu’elle nous prête, nous faisons connaissance avec le reste de l’île : le lac d’un côté, la rivière de l’autre, les canaux, les voisins tout sourire, les enfants qui nous lancent de grands coucous, les écureuils qui se chamaillent, les chèvres curieuses…
Les Indiens aiment les échanges et les habitants de Munroe Island ne dérogent pas à la règle. Nous nous familiarisons avec la langue du Kerala, le malayalam. Il rebondit sur les lèvres comme un roulement de tambour : robatodumadobadam tabadamulotapam. La langue est si complexe que les services secrets indiens s’en servaient pour communiquer !
Durant ces trois jours, nous vivons à un rythme ralenti, profitant des hamacs et attendant avec impatience le prochain repas concocté par la maman, une cuisinière hors pair. Elle semble s’être juré que nos papilles ne voudront plus jamais quitter le Kerala.
Cette famille était faite pour ouvrir une maison d’hôtes, mais ils ne l’ont lancée que récemment. Le père était le premier à proposer, il y a une vingtaine d’années, des tours en pirogue à Munroe Island. La mère prenait le relais pour servir aux vacanciers un repas traditionnel.
Et maintenant leur fils Unni, grand bavard devant l’éternel, s’occupe d’accueillir les visiteurs et de leur expliquer tout ce qu’il peut sur la région.
Nous apprenons que cette saison 2018-2019 se présente mal. Les inondations sans précédent ont refroidi les touristes qui craignent d’arriver dans une région dévastée, or il n’en est rien. D’abord car les Keralais ont travaillé d’arrache-pied pour tout remettre en état, mais aussi parce que les backwaters sont protégées par un système de canaux. Toute montée des eaux est auto-magiquement transvasée dans l’océan voisin.
En apprendre plus sur le Kerala
Puisqu’Unni adore parler, nous en profitons pour le questionner. Il est étudiant en sciences sociales et comme ses cours commencent à 4h du matin à Quilon, il se lève à 2h30. Vous avez bien lu. Les étudiants sont tellement nombreux et l’État du Kerala a une telle volonté de promouvoir l’éducation que les bâtiments de l’université sont exploités jour et nuit. Et cela fonctionne : tous les jeunes ont désormais au minimum un bachelor en poche (bac +3).
Notre jeune hôte aborde sans tabou un sujet qui le concernera très bientôt : le mariage. Dans le Kerala, il est encore largement arrangé par les parents. Mais attention, il ne s’agit pas simplement de trouver un « bon parti », la compatibilité des futurs époux est prise très au sérieux. Les parents se rendent au temple avec les horoscopes des deux potentiels tourtereaux, puis le prêtre jette les coquillages en fermant les yeux. Avec tout cela, il établit un score de concordance des tempéraments sur une échelle de zéro à dix.
À partir de 6/10, les jeunes sont compatibles. Or, c’est loin d’être fréquent. Une dizaine de tentatives est généralement nécessaire avant que les parents ne dénichent la perle rare.
Pour ajouter un niveau de difficulté, les époux doivent impérativement être de la même caste. Ce système millénaire est toujours en place en Inde et se retrouve, par exemple, indiqué sur les cartes d’identité. Les protocoles qui l’accompagnent sont néanmoins en train d’être balancés aux oubliettes. Autrefois, les castes les plus basses devaient respecter une distance de sécurité autour des castes les plus hautes. Un vrai caste-tête.
Unni estime que sa génération est à la lisière entre le monde d’avant et le monde d’après. Les jeunes se retrouvent coincés par les croyances des parents, tout en dragouillant en douce sur WhatsApp. Mais motus et bouche cousue, ne le répétez pas à ceux d’Unni !
Lever de soleil sur les backwaters
Un matin, nous optons pour le tour en pirogue du père. À l’inverse de son fiston, il n’est pas bavard, mais cela convient parfaitement à l’ambiance. Et quelle ambiance !
Une fine brume recouvre la rivière, tandis que des chants, airs de flûtes et coups de tambours s’élèvent d’un peu partout au-dessus des cocotiers. Chaque année durant un mois, de l’aube au crépuscule, les musiciens se relaient dans tous les temples de la région. Glisser sur l’eau avec cette bande-son nous laisse sans voix.
Après la rivière, nous pénétrons dans les terres via d’étroits canaux, observant l’île qui s’éveille. Le livreur de journaux passe à vélo, le prêtre allume de l’encens, untel trait une bufflonne, unetelle se lave les dents…
Les oiseaux aussi vivent leurs vies sous nos yeux, notamment des martins-pêcheurs qui cherchent leur petit déjeuner, de beaux aigles marron et blanc qui tournoient et des cormorans qui sèchent leurs ailes au soleil.
Usines de noix de cajou et de coton
Lorsque nous apprenons qu’une usine de noix de cajou, notre péché mignon, est installée à Munroe Island, nous nous empressons d’aller y jeter un œil. Entre deux et trois cents femmes du coin travaillent ici, sous une chaleur insupportable. Et encore, nous sommes en pleine saison fraîche.
Extraire les noix n’est vraiment pas facile. Cela consiste à casser l’enveloppe avec un petit marteau. Deux tapes d’un côté, une tape de l’autre et hop, la coque s’ouvre. Un travail ultra précis, sinon le fruit se fend. D’autres travailleuses prennent le relais et épluchent les noix, ce qui ne semble pas plus simple. Elles nous lancent de grands sourires. Nous avons un peu honte de déranger, surtout lorsque nous apprenons qu’elles travaillent de 5h du matin à 20h, six jours par semaine.
Juré, nous ne râlerons plus jamais sur le prix des noix de cajou.
Mise à jour : l’usine de cajou ne souhaite plus être visitée. Lors de notre retour à Munroe Island en 2024, Unni nous glisse l’idée de passer une tête chez les fileuses de coton, qui transforment à coups de manivelle de gros fils de fibres brutes en petites bobines prêtes à l’emploi.
Retour à Munroe Island pour le mariage d’Unni !
Voici la suite de l’histoire. Intrigué par le nombre de francophones dans sa homestay, Unni a retrouvé notre trace et nous avons lié une amitié à distance. En 2024 enfin, après plusieurs années d’attente à cause d’un horoscope compliqué, il se marie et nous fait l’honneur de nous inviter. L’heureuse élue s’appelle Surabhi !
Nous sommes donc de retour à Munroe Island au mois d’août, au milieu de la mousson. Peu de choses ont changé, mis à part les homestays qui se sont multipliées et les flaques d’eau qui poussent sous la mousson. Les cocotiers, les voisins souriants et les enfants à vélos sont toujours bien là.
Enfin, nous sommes ravis de retrouver Unni et ses parents, toujours aussi souriants et prévenants et d’échanger des nouvelles. Après le Covid et deux années très compliquées, les touristes ont fini par revenir et les beaux jours avec. Ils nous présentent ainsi avec fierté leur nouvelle maison, dotées de chambres neuves pour les voyageurs.
Quant au mariage, quelle expérience ! Il s’est écoulé sur deux jours, avec des tenues et décorations magnifiques, des traditions surprenantes, des repas sur feuilles de bananiers et surtout un accueil ultra sympathique des cousins, tantes, oncles et amis qui nous ont fait sentir des leurs. Longue vie à Unni et Surabhi !
Comment nous trouvez-vous en kurta et sari ?
Conseils pratiques sur Munroe Island
Trajet de Trivandrum à Quilon
Sauf à aimer les bains de foule, nous ne vous recommandons pas le train en classe « sans place réservée » (prix 120 roupies, durée 1h25). Achetez vos places plusieurs jours avant ou alors montez dans un bus. Le terminal de bus se trouve en face de la gare de Trivandrum.
Rejoindre Munroe Island
À la gare de Quilon, un comptoir prépayé (petite cabane au début de la file de rickshaws) propose le trajet à 800 roupies. Comptez 45 minutes de route. Il est également possible de prendre un train local, soit depuis Quilon, soit depuis Alleppey, mais leur fréquence est faible (consulter les horaires). Pour info, la station de train sur l’île de Munroe Island se nomme Munroturuttu.
Si vous cherchez un véritable taxi, par exemple pour une plus longue distance, nous pouvons vous recommander Ajan, ami de longue date d’Unni avec qui nous avons sympathisé lors du mariage. Il conduit prudemment et nous avons commencé à lui apprendre quelques mots de français ! Écrivez-lui sur WhatsApp au +918304985271.
Dormir à Munroe Island
Nous ne pouvions pas mieux tomber ! La homestay d’Unni (et Surabhi maintenant) s’appelle Munroe Coconut (~17€ petit-déjeuner compris)i : les chambres sont grandes et confortables, la famille est adorable et les discussions sont passionnantes. Promettez-nous que vous serez gentils avec eux.
Manger à Munroe Island
Nous n’avons pas raté un seul repas à notre homestay tant ils étaient variés et délicieux ! D’un autre côté, les restaurants ne sont pas nombreux sur l’île (il ne semble y avoir que celui-ci, bien noté). Ayez donc en tête que vous serez dépendants du logement que vous choisirez.
Sinon, nous recommandons le petit stand Munroe Mocktail pour un jus de fruits frais à prix imbattable (40 roupies le verre). N’hésitez pas à demander la spécialité, le lemon and fruits soda avec ou sans piment, préparé avec panache ! (glaçons à l’eau filtrée)
Tour en pirogue sur les backwaters de Munroe Island au lever du soleil
Le père de la homestay nous a proposé son tour en pirogue de deux heures pour 500 roupies par personne, mais les autres guesthouses du coin semblent offrir le même service. Nous n’étions que deux sur la pirogue ce jour-là, ce qui était d’autant plus magique. Pour ceux qui préfèrent faire la grasse matinée, une version coucher de soleil existe.
Faut-il visiter la ville de Quilon/Kollam elle-même
Au départ, nous pensions réaliser un aller-retour pour visiter la ville de Quilon, mais d’après les échos que nous avons eus, elle n’a pas grand intérêt. C’est sa région qui est belle.
Alleppey, l’autre porte vers les backwaters du Kerala
Il est temps de dire au revoir à nos hôtes et de monter dans un train vers notre étape suivante, Alleppey. Cette fois-ci, le train est à moitié vide !
Alleppey, aussi appelée Alappuzha, est une ville de taille moyenne. Nous logeons dans le centre de celle que certains surnomment, en exagérant un peu, la Venise de l’est.
En fait, la ressemblance avec « la Sérénissime » se limite à deux canaux parsemés de bateaux colorés. Certes, c’est assez joli, en particulier vers le petit café Paradiso, où nous buvons un lassi au bord de l’eau.
Mais pour le reste de la ville, permettez-nous de nous gondoler ! Nous l’appellerions plutôt « la Bazarissime » : pas de trottoirs, une circulation chaotique, des klaxons, le soleil qui cogne, des chiens errants, des vendeurs de rue… l’Inde quoi.
Pour respirer un peu, nous nous rendons vers la plage. Jusqu’ici les chauffeurs de rickshaws n’avaient pas tenté de nous arnaquer, mais les villes touristiques comme Alleppey sont le terrain de jeu favori des filous sur trois roues.
Juste avant de rejoindre la plage, nous commençons par piquer un fard en grimpant jusqu’au sommet du phare d’Alleppey (prix 50 roupies + 10 roupies l’appareil photo). De l’extérieur, il n’a pas l’air bien haut. De l’intérieur, avec la chaleur ambiante, c’est un colimaçon sans fin.
Nous pensons rentabiliser notre effort en profitant de la vue dégagée jusqu’au coucher de soleil. Hélas, l’allumeur en chef nous demande de descendre, il doit mettre en marche le gyrophare.
À côté du phare, nous nous attardons sur un vaste terrain pris d’assaut par les joueurs de cricket. Il est assez invraisemblable qu’un sport quasiment inconnu chez nous soit vénéré au plus haut point par plus d’un milliard d’Indiens !
Nous atteignons l’autre terrain vague : la plage d’Alleppey. Elle est grande et, comme pour chaque coucher de soleil, remplie de monde. Certains se baignent, mais gare à ne pas s’éloigner de plus de quelques mètres car les surveillants ont le sifflet facile.
Inévitablement, en tant qu’objets de curiosité, nous recevons une bonne dizaine de demandes de selfies. Comme d’habitude, les filles demandent avec tact et politesse, et les garçons avec… fougue et éclat !
Exploration des backwaters d’Alleppey en ferry public
Si Alleppey est si connue, c’est surtout pour ses backwaters. Nous comptons bien les découvrir, mais nous cherchons à le faire sans trop dépenser ni trop polluer. En effet, les houseboats, ces gros bateaux-hôtels privatisés, sont devenus tellement nombreux qu’ils engendrent des problèmes en pagaille pour la nature et pour les riverains.
Il existe des alternatives à la fois plus écologiques et économiques. La première est le tour de deux heures en petit bateau, privé ou partagé, depuis le canal d’Alleppey. Nul besoin de réserver ni même de chercher une fois sur place, les rabatteurs vous trouveront !
Quant à nous, nous choisissons l’option maxi-économique : le bateau public, emprunté par les locaux pour leurs trajets quotidiens. Nous nous rendons sur le quai principal et sautons dans un bateau au hasard.
La promenade est franchement agréable. En moins de dix minutes, nous quittons l’agitation d’Alleppey et naviguons au milieu des paysages uniques de la région. Nous sommes les seuls touristes, et donc les seuls à rester aussi longtemps. Les autres passagers montent et descendent comme dans un métro, les cocotiers et les oiseaux en plus.
Nous ne nous attendions pas à voir autant d’habitants vivre juste au bord de l’eau. Partout, des maisonnettes s’alignent et beaucoup possèdent une petite barque stationnée devant. Nous longeons aussi d’immenses rizières, d’un vert si doux que nous rêvons de nous rouler dedans.
Marari Beach pour le coucher de soleil
Revenus sur la terre ferme, une plage attire notre attention, à 15km au nord d’Alleppey : la longue et belle Marari Beach.
La bonne nouvelle, c’est que cette plage est adaptée à la baignade. Comme elle est pratiquement déserte, il suffit de s’éloigner un peu pour nager seuls en maillot de bain, ne choquer personne et profiter de l’eau incroyablement chaude !
La mauvaise nouvelle, c’est… hum… ce nuage qui s’invite :
L’orage gronde au loin. Nous hésitons à nous abriter sauf que, miracle, au bout de quelques gouttes, tout s’arrête et le nuage géant s’éloigne. Les dieux hindous sont de notre côté.
Rhabillés, nous flânons encore un peu jusqu’au coucher de soleil en gobant des cacahuètes chaudes.
Conseils pratiques pour visiter Alleppey
Transport de Munroe Island vers Alleppey
Des petits trains régionaux réalisent le trajet de Quilon à Alleppey en passant par Munroe Island. L’arrêt se nomme Munroturuttu. En direction d’Alleppey, nous sommes montés dans le train de 9h05 pour une durée d’1h50. Plus d’horaires et plus de destinations ici.
Explorer les backwaters d’Alleppey en ferry public
Le plus simple est de partir depuis la jetty principale (ici). Les départs sont fréquents vers une multitude de destinations, qui correspondent à des villages situés à une heure ou deux. Nous aurions bien du mal à vous indiquer quelle ligne propose le meilleur paysage, mais toutes doivent se valoir. Vous avez en tous cas la garantie de ne pas vous retrouver au cœur des embouteillages d’houseboats ! Pour notre part, nous avons pris le bateau de 10h vers Krishapuram, c’est-à-dire un petit temple au milieu de nulle part. Comptez 1h45 l’aller, autant pour le retour et 13 roupies le ticket. Quand on vous dit que c’est la version économique !
Restaurants à Alleppey
Les choix ne sont malheureusement pas folichons. Nous avons testé le restaurant Halais, typiquement indien. Comprendre à la décoration triste mais aux prix très bas. Pour plusieurs plats à partager et en terminant par un chai, notre petit plaisir, nous nous en sortons pour 1€ par personne.
Logement à Alleppey
Alleppey étant très touristique, les logements sont plus chers qu’ailleurs. Nous avons choisi une guesthouse appelée Mom&Pop Thyparambil Heritage (~15€ petit-déjeuner compris)i. Elle semblait confortable en photos, mais rien d’incroyable une fois sur place. Reste la localisation centrale et la gérante sympa qui cuisine à la demande de bons dîners pour trois fois rien.
Notre avis sur Munroe Island et Alleppey
Les backwaters sont certainement le plus beau bijou d’Inde du Sud. Munroe Island, en particulier, restera un formidable souvenir de notre voyage en Inde. L’île est superbe, dépaysante, préservée, joyeuse, tout en étant d’une sérénité incroyable. Le tour en pirogue et les balades à vélo sont à notre avis le moyen idéal pour découvrir les backwaters du Kerala.
Quant à Alleppey, elle n’a pas grand charme, mais le tour en ferry public nous a bien plu, ainsi que l’ambiance sur les plages. Cette ville peut donc s’avérer une bonne option si cela ne vous arrange pas de descendre au sud jusqu’à Quilon et Munroe Island.
Au fait, avec toute cette eau, nous craignions que des nuées de moustiques ne nous assaillent. Il y en a quelques-uns, mais pas plus qu’ailleurs !
Bonjour,
Avec ce genre d’articles vous arriveriez presque à me faire changer d’avis sur l’inde.
Le kerala a l’air presque calme et les paysages sont splendides.
Merci pour cette découverte, je lirais avec beaucoup d’attention vos prochains articles.
Pour ce qui est du cricket,ça fait partie de ses sports incompréhensibles ( comme le base-ball)qui passionne les foules.
J’attends avec impatience la suite.
Bonne continuation.
Virginie
Le Kerala est vraiment à part en Inde. Il nous rappelle davantage le paisible Sri Lanka que l’Inde du Nord chaotique. Un choix sans risque pour un premier voyage en Inde 🙂
À très bientôt depuis les plantations de thé !
J’ai connu le Kerala il y a 38 ans (?!! Mais non !! L’âge c’est dans la tête !! 😂 j’avais adoré. Vous me donnez juste une grosse grosse envie d’y retourner ! merciiiiiii. Continuez, je vous suis avec un plaisir énorme. Evelyne
Ça a dû un peu changer sur certains aspects, mais on parie que la nature est toujours aussi belle que dans tes souvenirs.
Merci de nous suivre !
Ça a l’air sympa cette région calme et jolie.
Oui ! D’ailleurs, avec toute cette verdure, les rizières et la tranquillité, le Kerala nous rappelait souvent Bali !
Waouh j’ai lu et tout ça ça me donne envie et à rajouter à mon projet TDM …. 😘😘😘
Haha, désolés ! Il va falloir que t’enchaînes plusieurs tours du monde !
Magnifique, cette région a l’air totalement hors du temps, et vos hôtes absolument adorables 🙂 J’ai hâte de lire la suite de votre voyage en Inde
C’est exactement ça, on se sentait hors du temps sur notre petite île ! La suite n’est pas mal non plus 🙂
Jolie photos sur l’eau!
Merci ! C’est une région tellement photogénique !
C’est gentil parce que vous visitez tous les endroits que j’ai envie de voir depuis super longtemps, vous êtes un peu mes éclaireurs. Mais comme tout à l’air superbe et bonne ambiance ça va pas être évident de choisir le moment venu!
Ce récit des trois jours dans l’île me font totalement rêver, mais comment on fait pour revenir à la terre ferme et à l’agitation derrière?
Toujours aussi hâte de lire la suite de vos aventures. Et de trouver où est-ce que vous irez après!
Haha ça nous va bien comme titre, éclaireurs 🙂 On te conseille à 100% cette région, et puis pour la suite, facile, on est revenus à la terre ferme mais pas à l’agitation, en allant se réfugier dans les plantations de thé, toutes calmes elles aussi !
Que c’est plaisant à découvrir, lire, suivre!!!! Votre blog est un régal!!!!….. Quel support utilisez vous?
Je ne suis pas fan de l’Inde et c’est en suivant une Amie qui y est en ce moment que je suis tombée sur votre blog et je ne regrette pas d’y être rentrée….!! Magnifiques photos, texte sympa et clair et mignonnes illustrations…. Très chouette !
Merci et je crois que je vais continuer à vous suivre. 😉 Catherine
Merci beaucoup !! On utilise la plateforme WordPress. Ton commentaire nous fait énormément plaisir. Bienvenue chez nous alors ! 🙂
ça donne vraiment envie de petit coin de nature. Je ferais bien le tour des coins nature de l’Inde… Allez je vais rattraper mon retard de lecture. Biz
Ce coin-là est vraiment exceptionnellement beau !
Je suis actuellement chez Unni et ses parents, grâce à vous. Le lever du soleil en pirogue avec le père fût pour moi un moment magique, le temps s’est arrêté pendant deux heures. Des gens adorables, attentionnés, toujours prêts à vous aider, à vous conseiller sur les choses à faire, avec en prime un sourire qui ne trompe pas.
La cuisine de la mère est délicieuse, variée et j’ai pensé à vous hier soir en savourant un masala dosa servi avec un chutney de coco. Le petit déjeuner est tout aussi merveilleux, j’ai encore le goût parfumé de la banane et l’ananas.
Un petit paradis !
Merci de nous faire voyager et de partager vos expériences, ressentis, là où vous passez. Des dessins rigolos, de jolies photos, un style d’écriture qui me plait beaucoup, il ne m’en faut pas plus pour continuer à vous suivre autour du monde ( et voyager aussi moi-même )
Quel super message, merci beaucoup ! On est contents que tu aies l’occasion toi aussi de vivre cette expérience de rêve et ravis de savoir que la petite famille d’Unni reste au top 🙂 Bonne suite de voyage en Inde et à bientôt par ici alors !
Waouhhh super on était aussi chez Unni et ses parents en début d’annee. trois jours aussi . C’est génial de lire quelqu’un qui a eu les mêmes expériences…et le même ressenti…
Haha génial ! En ce moment ils doivent commencer à se préparer mentalement à l’arrivée de la mousson, alors une petite pensée pour eux !
Bonjour
Je compte me rendre au kerala cette année à la Toussaint avec ma tribu ,nous serons 6
Nous aurons 10 jours et je souhaitais faire un peu de montagne,un peu de mer et les backwaters.
J aurai plusieurs questions
J’avais prévu un stop à Allepey ,mais Monroe Island a l air plus reposant .Possible à 6 ,,?
Compte tenu du nombre de personnes recommanderez vous de prendre un chauffeur pour nos transports?
Merci
Bonjour Roger,
Oui, il est tout à fait possible d’aller à Munroe Island à six. Pas dans notre logement qui n’a que deux chambres de deux, mais il y a d’autres choix sur l’île. Pour les transports, c’est comme vous voulez : soit en bus et train en complétant avec un tuk-tuk pour les petites distances, soit avec un chauffeur. Cela dépend de ce que vous aimez en voyage.
Bonjour à vous 2,
J’ai mes billets pour l’Inde du sud, 1 mois de découverte !! Pondichéry et alentours pour 15 jours, ensuite direction le Kerala et peut-être Munnar !
Reste la question des réservations. Je n’arrive pas à me décider sur l’itinéraire et sur ce que je vais faire, entre visites, cure ayurvédique ou pas, et surtout à prévoir si je vais rester 1 ou plusieurs jours quelque part…Aussi je voulais savoir, est-il facile de trouver un hébergement sur place sans réserver ? Je précise que je pars en octobre.
J’ai quand même réservé à Munroe Coconut Homestay;-)
Merci encore pour vos publications, photos, conseils…
Bonjour Christine,
Tes projets se concrétisent ! Super un mois pour l’Inde du sud ! En octobre, aucun souci, tu trouveras des logements au dernier moment. C’est surtout en décembre/janvier que cela se remplit. À moins que tu n’aies un coup de cœur sur un logement en particulier, pas besoin de réserver. Ahh tu vas être bien chez Munroe Coconut 🙂
Super ! Merci pour ce retour rapide, comme toujours !
Très belle journée à vous 😀
Bonjour,
Nous partons en Inde du Sud en février prochain et grâce à votre article nous avons réservé 3 nuits à la Munroe coconut. Vous êtes vraiment convainquants !
Le kerala sera notre première immersion en Inde et votre blog nous a conforté dans notre choix. Merci 😊😊
Bonjour Laetitia,
Merci pour ce petit message, on espère que vous aimerez cette région (et Munroe Island) autant que nous !
Bonjour, bravo pour votre blog, j’adoooore !! Grâce à vous, nous avons pris nos billet 🙂
Nous partons 2 semaines avec notre fils de 13 ans en février. Nous pensions faire uniquement le Kerala car nous n’aimons pas nous presser 🙂 Nous atterrissons à Kochi. Nous comptons aller à Munroe Island et Munnar. A votre avis, Sans se presser, pouvons nous rajouter d’autres endroits sympas ?
Bonjour Judith !
Si vous ne souhaitez pas vous presser et voir le plus beau, vous pouvez rester simplement sur ces trois étapes. Mais en deux semaines vous avez le temps de visiter d’autres lieux. Varkala par exemple, pour la plage. Et Trivandrum, pour vivre l’Inde un peu plus de l’intérieur, en dehors du circuit touristique.
Nous vous souhaitons en tous cas d’avance un très beau voyage !
Bonjour,
Vos articles sont d’un grand support pour m’aider dans la planification de mon voyage au Kerala et pour dissiper quelques craintes face à l’Inde ! Nous avons réservé votre hébergement sur Munroe Island pour 4 nuits. Considérant ce séjour, je me demande si Alleppey demeure un incontournable pour les blackwater ou si j’en aurai déjà eu plein mes yeux sur Munroe island. Merci !
Bonjour,
Oui, c’est à peu près ce qu’on pense. Tu vivras la quintessence des Backwaters à Munroe Island, il n’est pas bien utile d’aller à Alleppey pour tenter de les revisiter au milieu des touristes.
Profite bien et n’hésite pas si tu as d’autres questions !
Bonjour,
Je prévois un séjour à 5 à Munroe Island et j’aimerai bien aller dans votre homestay.
Comme nous sommes 5, je voulais leur demander s’il y a la possibilité de rajouter un lit.
Est ce que vous avez leur email?
Avez vous au cas où une autre adresse sympa sur cette île?
Merci pour tous vos conseils.
Solange
Bonjour,
Non, nous n’avons pas leur email car nous avions tout géré via Booking.
Ce que vous pouvez faire, c’est réserver les 2 chambres et ajouter votre question dans le commentaire facultatif de votre réservation, ou bien leur envoyer un message immédiatement ensuite. S’ils vous répondent non, les réservations sont annulables sans frais jusqu’à une certaine date.
On croise les doigts pour vous. Au pire ils ont des cousins qui gèrent un autre homestay à cinq minutes à pied.
merci pour votre récit, je connais Allepey, mais du tout Munroe island, merci de me l’avoir fait découvrir.j’adore. merci a vous
Bonjour Laurence, il n’y a pas de quoi ! Y es-tu allée ou pas encore ?
Ohhh merci, pour chacune de mes destinations, vous êtes passés avant moi, quel bonheur de pouvoir lire ces astuces et retours positifs !! Ça redonne du.baume au coeur les soirs ou on un peu perdue 🙂
Ah voilà qui tombe bien ! Super choix de destination, on a tellement aimé le Kerala 😍 Tu prévois d’y aller bientôt ?
mille mercis et félicitations pour votre récit sur le Kerala
nous projetons un voyage en janvier 2023 et souhaitons passer une étape à Munroe island
une exploration à vélo nous tenterait bien
est ce possible et comment louer ? dans les homestays ou y a t il des loueurs ?
merci d’avance
Bonjour Corine,
Nous n’avons pas eu vent de loueurs de vélos sur l’île. Ceux que nous avions étaient simplement prêtés par notre homestay. Mais que vous choisissiez celle-ci ou une autre, nous pensons que vous n’aurez pas de mal à trouver des vélos soit gratuits, soit peu chers, en demandant une fois sur place.
Profitez bien de cette magnifique région !
Bonjour,
Merci pour tous ces conseils et félicitations pour vos belles photos! Nous partons en principe fin décembre pour 3 semaines . Arrivée Cochin pour le nouvel an avec apparemment un carnaval impressionnant! Nous voulons terminer par une semaine sur les îles Andaman et Nicobar donc trajet Cochin Chennai. Est-ce que la partie Madurai Chennai vaut le coup ou pas?
J’avais envie aussi comme tout bon touriste de passer une nuit sur un houseboat bien sûr. Ces bateaux sont vraiment trop beaux. Est ce que je peux trouver ce genre de bateau dans un endroit moins touristique?
Merci d’avance si vous avez un peu de temps pour me répondre
Bonjour Isabelle,
Nous avons bien aimé Pondichéry et Mahabalipuram en chemin, ça pourrait vous faire des étapes vraiment intéressantes.
Concernant les houseboats, c’est vrai qu’ils sont très beaux. Hélas il nous semble qu’ils n’existent qu’ici !
Excellent voyage à vous !
Bonjour,nous revenons du Kerala où nous avons séjourné dans la famille de Unni à Munroe island. Il vous est éternellement reconnaissant d avoir fait connaître son adresse car désormais sa maison est peuplée de.. Français.
Nous y avons connu le même bonheur et le même enchantement que vous et nous avons tant appris sur la culture Keralaise grâce à lui et aussi grâce à vous. On est comme vous, totalement fondus de ce pays où nous retournons régulièrement
Merci pour ce petit mot, on imagine sans mal qu’Unni et sa famille vous ont bichonnés à votre tour. C’est une belle adresse, ils méritent leur succès ! On comprend bien votre coup de cœur pour l’Inde. De notre côté, on pense de plus en plus à y retourner !
Je rentre de 5 semaines entre le Tamil Nadu et le Kerala, voyageuse solo en mode backpacker. Je découvre votre blog avec votre aventure indienne et ça reflète tellement ce que j’ai ressenti.
J’aime beaucoup vos récits qui sont respectueux, avec humour et auto dérision.
Votre choix de vie est vraiment inspirant et relance certaines réflexions existentielles 🙂
Est-ce que vous êtes toujours nomades ?
Salut Véronique,
À lire ton message, il semblerait que tu aies apprécié l’Inde toi aussi 🙂
Nous ne sommes plus de véritables nomades, car depuis huit mois nous avons un appartement à nous. Mais nous comptons continuer de voyager une bonne partie de l’année. Nous rentrons d’ailleurs tout juste de deux mois sur les îles du Cap-Vert !
Parfois c’est nécessaire de poser ses valises et c’est pas mal de pouvoir retrouver son nid … pour mieux repartir évidemment !
Jai pas mal voyagé et oui l’Inde m’a touché, surtout les indiens. Ce pays est surprenant, on est souvent challengé et bousculé mais le reste nous transporte. Et ca fait tellement du bien de voir des gens sourire 😀 (la parisienne a parlé!).
Il y a trop de choses à dire!! Bonne route
Bonjour,
Merci pour votre super blog. Suivant vos conseils, je vais séjourner au Coconut Homestay sur Munroe Island juste avant Noël pendant mon prochain séjour au Kerala! J’avais réalisé un séjour proche du votre au Karnataka l’an dernier que j’avais adoré (Hampi, Bijapur, Badami, Goa). J’y avais ajouté les temples Hoysalas de Belur et d’Halebebid à l’ouest de Bengaluru classés depuis à l’UNESCO.
Pour les backwaters, vous semblez indiquer que ceux de Munroe Island sont suffisants et que vous vous en contenteriez si c’était à refaire? N’avez vous pas trouvé ceux autour d’Allepey différents et « complémentaires »? Je pensais également passer deux jours au calme autour d’Allepey, mais en dehors de la ville, dans la nature au coeur des backwaters.
Merci et bon séjour en Egypt, un autre pays fantastique 🙂
Nous avons mieux profité des backwaters de Munroe Island, mais bien aimé ceux près d’Allepey pour le côté ferry public, la vie normale dans un décor de rêve. Si tu trouves un coin calme autour d’Allepey ce sera à tous les coups agréable aussi ! On s’adressait surtout aux voyageurs pressés, ce qui ne semble pas être ton cas 🙂
Oh oui l’Egypte 😍
Bonsoir, je tiens à vous remercier, nous revenons d’un mois en inde du sud, Kerala : Allepey, Munroe island, Munnar, Kannur, kochi; Tamil nadu: Madurai; Karnataka: Mysore, Madikeri. J’ai lu beaucoup d’articles et de blog avant de partir. Le vôtre nous a particulièrement aidé et permis de vivre de merveilleux moments notamment chez Unni et ses parents , cet endroit est merveilleux d’authenticité, que ce soit le homestay ou l’île et ses habitants, nous avions les larmes aux yeux en partant. C’était notre première fois en Inde et vous êtes pour beaucoup dans l’épanouissement de ce voyage qui parfois est éprouvant et se retrouver dans les homestay que vous conseillez comme à Munroe island ( coconut homestay) ou Kannur (ivory coast) nous a offert le calme et l’accueil fabuleux des hôtes nécessaire pour bien vivre ce périple. Nous aimons comme vous prendre le temps, 4 nuits dans chacun de ces endroits sont de merveilleux souvenirs. Je vais finir par choisir nos prochaines vacances en fonction de ce que vous avez visité, vous nous facilitez tellement le voyage….. D’ailleurs l’Albanie m’attire pour ses randonnées….Au plaisir de vous rencontrer peut-être un jour en voyage !!!!! Bonne route.
Bonjour Karine,
Très heureux de savoir qu’on vous a aidés dans votre voyage en Inde du Sud !
L’Albanie devrait vous plaire. Il y a peu de homestay sous les cocotiers, c’est sûr, mais les Albanais sont super accueillants. Et on vous conseille vivement de faire un petit détour par le Kosovo, on n’a pas encore écrit dessus mais c’est super.
Au plaisir !
Voilà les billets d’avion sont pris pour l’Albanie en mai…. Je lis aussi avec bonheur vos articles concernant l’Asie, trop envie d’y découvrir d’autres pays comme les Philippines ou l’Indonésie. Peut-être en fin d’année. Et puis je relis vos articles de l’Inde du sud et trie mes photos histoire de voyager encore dans ces contrées lointaines qui m’habitent encore.
Merci pour vos articles.
Trop bien pour l’Albanie. On espère que ça te plaira autant qu’à nous !
Bonjour et merci, un grand merci car en partie grâce à ce blog nous sommes actuellement à Munroe Island et revenons juste d’un tour en barque au lever du soleil. Nous validons tout ce que vous racontez sur la presqu’île. Nous sommes juste avant votre Homestay au Munroe Vibes Inn, que nous trouvons très bien également. Tour en barque à 1300 roupies pour deux désormais.
Merci également pour l’adresse du Landy Queen à Munnar, Rooney est toujours aussi serviable. Nous profitons du blog pour conseiller le Chrissie’s hôtel à Periyar qui est un havre de pays avec un accueil fabuleux.
Encore 3 jours « à ne rien faire » à Munroe 😉.
Claudie et Fabrice
Hello Claudie et Fabrice,
Merci pour votre message et pour les adresses, vous avez l’air d’être autant sous le charme que nous.
Profitez bien !
Bonjour
Pour nous aussi, à Munroe le homestay de Unni était complet et nous sommes également enchantés du Munroe Vibes Inn, quasi à côté.
Pour Alleppey : un ‘bon plan’ selon nous pour voir les backwaters est le trajet Alleppey-Kottayam (jetée de Kodimatha) en bateau public. Trois heures par canaux et lacs, avec une quarantaine d’arrêts et quelques passages de pont à ouverture manuelle, ça fait une très belle croisière et en plus très économique (28 roupies p.p!)
Merci à vous pour vos partages. Nous avons eu plaisir et avantage à vous lire en Grèce et maintenant au Kerala.
Sigrid et André
Merci pour le bon plan et super pour Munroe Island, on dirait que tous les habitants ont un super sens de l’accueil !